La création 

​

350 représentations de « la Machine Infernale » de Cocteau, au Guichet Montparnasse et le cours naît.

Nous commençons à enseigner la méthode théâtrale héritée de M. Jean-Laurent Cochet.

Molière, Giraudoux, Achard, Guitry, c’est le théâtre classique qui marque nos premières mises en scène. Au théâtre de Ménilmontant, avec des costumes de l’Opéra Comique, et des décors dessinés pour nous par des écoles d’art.​​

d’une première ère

​

Le cours s’agrandit d’année en année.

Et la troupe s’épanouit dans “8 femmes”, ou encore “L’inscription” de Sibleyras. Que nous emmènerons en tournée en Allemagne.

L’impulsion du moderne nous pousse à faire nos premiers spectacles en création comme “Les dessous des filles” ou encore “En haut de l’affiche”.

Deux moments clés où nous parvenons à un parfait équilibre entre notre savoir faire classique et ce grain de folie qui nous fait approcher tous les supports. Le classique se frotte à des pièces contemporaines, des textes de chansons et nous commençont à écrire nos propres textes.

Une renaissance

 

Le cours a besoin de plus d’espace, nous sommes trop nombreux.

Nous investissons les salles mythiques où tous les grands cours et metteurs en scène travaillent à Opéra, où nous travaillons toujours.

Nous changeons aussi de théâtre, pour être encore plus central. Le quartier latin devient notre nouvel écrin. Où il fait bon aller travailler comme flâner après les cours et les représentations avec un public toujours fidèle.

La mise en scène au cœur de notre travail

 

Jusqu’ici, les spectacles étaient synonymes de fin d’année.

 

Mais le projet d’ »Andromaque » est une marche franchie par la compagnie qui peut compter sur un noyau dur techniquement pour jouer tout au long de l’année.

 

Ce fut le cas pour ce Racine. Qui tout naturellement fut maintes fois repris face au succès.

 

Et au point de vue innovant et moderne que nous avons apporté à l’interprétation. 

Puis, nous accomplissons un doublé. Deux pièces, en création vont se succéder, faisant jouer l’entièreté de notre troupe qui va se partager entre les deux productions :

In-Justice, pièce policière dont l’audace surprenante mêle notre amour pour le cinéma, les personnages inattendus et notre savoir-faire théâtral.

Et Woman, pièce en partie autobigraphique, qui oscille entre humour et drame pour nous parler de la condition féminine. 

Un renouveau

 

La pandémie nous enlève la scène.

Comme le reste du monde, nous nous arrêtons. 

Une semaine !

La Machine Infernale, c’est aussi une famille. Et si le confinement nous plonge dans le désarroi, nous décidons de nous concentrer sur la belle littérature.

Les cours passent en visio, et nous découvrons ensemble des auteurs à textes forts.  

Et pour amuser ceux qui nous suivent, nous mettons en place des représentations en visio, suivies dans tous les coins de la France, avec « La pélerine écossaise » de Sacha Guitry et « Un air de famille » de Bacri et Jaoui.

Cette épreuve rend notre troupe plus solide. 

L’envie de brûler les planches est d’autant plus forte. 

Un accomplissement

 

Deux grands spectacles font partie désormais des projets que nous voulons porter plus loin.

“La consultation d’un enfant du siècle”, pièce sur la vie d’Alfred de Musset.

Et notre “Cyrano de Bergerac” qui a fait un carton à sa création.
Nos cours collectifs, nos stages aux thèmes originaux, nos productions théâtrales, deviennent un ensemble concret basé sur notre insatiable besoin de nouvelles aventures encore plus ambitieuses.

Notre histoire est sans cesse en évolution. Car elle s’écrit avec chaque nouvel élève qui l’enrichit de son parcours de travail.

La prochaine étape, avec vous ?

​

Suite à nos premiers travaux où nous avons mis en valeur nos élèves face à une caméra dans des scènes de films mythiques, cette nouvelle ère sera celle de l’image.

 

Nos comédiens se forment pour ce nouvel aspect du jeu.

 

Afin de pouvoir se lancer dans des tournages encore plus ambitieux.

Nous avons encore d’autres terres artistiques à explorer et conquérir.

Et pourquoi pas, avec vous ?